Dans la perspective du projet de loi sur la famille, des réflexions sont menées pour faciliter la transcription, en droit français, des états civils d’enfants nés par gestation pour autrui (GPA) à l’étranger.Certains, à gauche, sont déterminés à légiférer dans ce domaine, tout en redoutant d’ouvrir un nouveau front de contestation.
La suite : la Croix
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