Elisabeth-Boyer, Ex-Secrétaire générale du PRG et conseillère régionale IDF |
La bataille des municipales parisiennes promet d'être passionnée, aussi belle que rude. Alors que je suis issue des rangs de la gauche, j'ai décidé de m'engager aux côtés de Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate à la mairie de Paris, qualifiée par les Parisiens au terme d'une Primaire ouverte. Avec un style politique bien à elle, Nathalie Kosciusko-Morizet a convaincu les Parisiennes et les Parisiens de devenir le premier édile de Paris. Je partage leur confiance et le projet de la candidate qui se donne comme priorité de traiter efficacement les problèmes du quotidien, donner la même chance à tous les quartiers (propreté, sécurité, logement...), construire le Grand Paris de la culture et des entreprises pionnières, rassembler une nouvelle majorité entièrement dévouée à l'action municipale, enfin porter hauts les principes de l'éthique publique et républicaine.
Ce niveau d'exigence est important, car représenter Paris pour ses habitants, pour les Français, incarner la capitale sur les scènes européennes et internationales est une grande affaire. Paris est une ville qui se conquiert et se mérite par la hauteur de vue, la volonté et le coeur. Comment comprendre que, pour cet enjeu, le maire sortant, Bertrand Delanoë, ait préféré la désignation pour lui succéder ? La gauche est passée à côté d'une belle occasion de rebattre ses propres cartes.
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