La mairie expliquait en effet que les plaintes des locataires ont conduit à un audit de l'immeuble, au terme duquel une « opération de résorption de l'habitat indigne » était mise en place. Dans un courrier que ActuaLitté a publié, on pouvait y lire que les conditions dans lesquelles la mairie proposait aux libraires de négocier leur départ. Les discussions ayant commencé, la question est de définir s'ils souhaitent « percevoir l'indemnité de départ définitif ou un droit au retour à l'issue des travaux ».Et si cette seconde hypothèse était choisie, la SOREQA, qui gère ces questions, « accompagnerait dans la recherche d'un local provisoire pendant les travaux ».
Mais voilà : seuls 20.000 € étaient proposés à la librairie. Inacceptable, pour un établissement spécialisé dans les ouvrages italiens, et qui se porte très bien.
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