Ce devait être le "signe de la modernité" qui allait "ringardiser la gauche parisienne". La primaire de l'UMP a pris du plomb dans l'aile cette semaine, après la défection de Rachida Dati. Dénonçant un "climat délétère", la députée européenne maire du 7e a claqué la porte avec fracas mardi, provoquant la panique à bord. Certains cadres de l'UMP Paris envisagent désormais un abandon pur et simple du processus, alors que le premier tour est prévu du 31 mai au 3 juin. "Pas sûr qu'on aille jusqu'au bout, confie un élu. La fédé se donne quinze jours pour voir si ça prend. Si le nombre d'inscrits est trop faible, on arrête les frais."
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