Dès l'officialisation de sa candidature à la mairie de Paris vendredi dernier, Nathalie Kosciusko-Morizet a été accueillie par un triple tir de barrage émanant de la gauche, du FN et de son propre camp. L'ancienne ministre de l'Environnement, encore députée-maire de Longjumeau, serait à la fois une "parachutée" qui fuirait une circonscription difficile, une "réactionnaire" hostile au droit de vote des étrangers et au mariage gay, mais également une "bobo de gauche", entendez bourgeois-bohème, déconnectée des aspirations profondes des classes populaires et moyennes de la capitale.
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