Nathalie Kosciusko-Morizet peut souffler… au moins un peu. Hier soir, la candidate à la mairie de Paris est parvenue à faire valider par la commission nationale d’investiture de l’UMP ses seize têtes de liste d’arrondissement qu’elle voulait imposer (quatre étant réservées au centre). « J’ai gagné la primaire, j’ai le droit d’imposer mes candidats », a-t-elle affirmé devant la commission.
Un soulagement pour celle qui voit planer depuis des semaines des menaces de listes dissidentes aux quatre coins de la capitale. Au moins huit, à ce jour. Un répit, aussi, dans une campagne qui connaît quelques impairs. A l’image de ses propos sur le métro, qu’elle a qualifié de « lieu de charme », raillés autant par ses adversaires que sur les réseaux sociaux.
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