mardi 14 janvier 2014

Marielle @desarnez heureuse de faire campagne à @Paris avec #NKM

La pollution parisienne pourrait devenir aussi un enjeu économique, par @lheretique

J'ai lu une dépêche AFP très instructive sur le devenir d'une grande cité submergée par la pollution. Il s'agit de Hong-Kong. La cité-État chinoise commence à perdre de son attractivité en raison du niveau de pollution insupportable qui l'atteint.
Si les acteurs politique parisiens ont dans l'ensemble une conscience assez aigüe des dangers que représente la pollution du point de vue de la santé et de l'environnement, ils n'en perçoivent pas forcément les enjeux économiques.
J'ai dit récemment que le bouclage du tramway, que propose Anne Hidalgo allait dans le bon sens, mais je dois pondérer mon propos. Il y a eu une erreur à la base dans ce projet car il a un coût faramineux. Construire tout un circuit avec voie réservée pour les bus et acheter une flottille de bus propres (GNV, électrique) eût été infiniment moins coûteux et tout aussi efficace en termes de mobilité, d'efficacité, de rapidité et de trafic. Alors évidemment, il n'y a plus d'autres choix que d'achever ce qui a été entamé, mais le décision initiale va peser très lourdement sur les finances de la ville.

2014 sera l'occasion de commémorer la Grande Guerre

« Je boycotte totalement les taxis »

Au lendemain de manifestations de chauffeurs de taxi pour défendre leur emploi, menacé, selon eux, par la « concurrence déloyale » des véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC), vous êtes nombreux à avoir témoigné de vos façons devous déplacer et de vos changements d'habitudes.

  • L'équivalent des services de luxe des taxis traditionnels, par Fabienne A., 57 ans, chef d'entreprise, Paris
Lorsque j'ai besoin de me déplacer en voiture à Paris, j'utilise maintenant les VTC. Les voitures sont propres, les conducteurs polis, on vous offre de l'eau. Vous pouvez recharger votre téléphone portable, écouter ou pas la radio de votre choix. Ils vous déposent à l'endroit demandé et pas à 500 mètres. 

Militant du FdG et heureux de ne pas être Parisien !

Militant du FdG (du PCF pour être précis), le vaudeville parisien me plonge dans un désarroi profond ; désarroi que je pense partagé par nombre de camarades et dont je veux faire état ici. Je suis heureux de ne pas être parisien, car si c’était le cas, je serais bien en peine de « choisir mon camp » quand les différentes composantes du FdG partent dans des directions diverses voir opposées. 

Comme tous les sympathisants, adhérents et dirigeants des différents partis qui composent le Front de Gauche (PCF, PG, GU, Ensemble …), je me définis en opposition à la politique gouvernementale. Cela ne fait débat pour personne au sein du Front de Gauche, ni Pierre Laurent, ni Jean-Luc Mélenchon ni aucun adhérant d’aucun des partis du FdG. 

Ceci posé, les élections municipales ne sont pas des élections nationales ; et notamment les candidats aux élections municipales peuvent avoir des opinions divergentes des dirigeants nationaux de leurs partis. Il est des députés PS, des membres nationaux de la direction du PS qui se sont opposés en interne ou à l’assemblée nationale aux réformes régressives du gouvernement sur l’ANI, les retraites et qui condamnent la politique d’austérité. Faire campagne avec et pour ces gens là où leurs soutiens locaux ne me poserait aucun problème de conscience. 

Le choix de partir localement en autonomie face au PS ou de faire une liste d’union de la gauche est donc un choix local, dépendant de la personnalité exacte du candidat. Nous pouvons avoir chacun et chacune des différences d’appréciation sur cette personnalité et son adéquation avec ce que nous pensons être une politique municipale de gauche et anti-austérité. Mais il ne s’agit que d’une différence d’appréciation sur une personne, pas d’une divergence de fond sur la stratégie et l’orientation politique globale d’un parti.

La suite : Pensées Politiques

@taxi2paname, un taxi parisien qui ne se distingue pas par son bon gout sur Twitter

#NKM visite l'entreprise @DeezerFrance

Paris : le prince Napoléon soutient la socialiste Anne Hidalgo


La socialiste Anne Hidalgo aurait été, selon Le Nouvel Observateur, brocardée sur ses origines modestes par l'entourage de son adversaire UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet. La première adjointe du maire PS sortant Bertrand Delanoë peut en tout cas se vanter d'un impérial soutien, celui du prince Charles Napoléon. Ce dernier était invité lundi soir aux vœux de la candidate PS avec ses autres soutiens, dont le chanteur Enrico Macias.
Chef d'entreprise, âgé de 63 ans, Charles Napoléon, chef de la maison impériale de France, habite Paris et le XVe arrondissement après avoir passé plusieurs années aux États-Unis. 

@Anne_Hidalgo (#PS) sur France Bleu, lundi 13 janvier 2014


Lundi Politique - Anne Hidalgo par francebleu1071