Dissident, lui ? Dominique Tiberi sourit d’un air las, mais tranquille : «Ma liste sera la seule légitime.» Cinquième maire adjoint du Ve arrondissement de Paris, il est depuis hier candidat à la succession de son père, Jean Tiberi, maire depuis 1983 : «La seule façon de ne pas perdre le Ve, assure-t-il, toute autre liste de droite courrait à la défaite.»
C’est ce qu’il tente d’expliquer depuis des mois à Nathalie Kosciusko-Morizet et aux dirigeants de l’UMP, qui doivent approuver ce matin les têtes de liste présentées par la candidate lors de la commission nationale
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