mardi 6 août 2013

Liberons le transport ?


Total privilégie la place financière de #Londres à #Paris

Tout un symbole. Lundi 5 août, le pétrolier français Total a indiqué qu'il souhaitait transférer à Londres la gestion de sa trésorerie et sa communication financière, confirmant une information du site Mediapart. Le projet, en discussion avec les partenaires sociaux, pourrait aboutir début 2014.


De quoi déclencher un début de polémique, alors que la City fait les yeux doux depuis plus d'un an au secteur financier tricolore. "Le centre 
de profit de la trésorerie reste en France et taxable en France. Nous avons obtenu de l'administration fiscale anglaise que cela soit toujours le cas"
, a déclaré le directeur financier, Patrick de la Chevardière, qui, lui, reste en France.

Le groupe minimise aussi l'impact du déménagement : 70 personnes, sur un total de 96 000 dans le monde, devraient quitter le siège de la Défense"Ce mouvement se fait pour des raisons stratégiques et non
fiscales : Londres est la première place financière et pétrolière en Europe. Cela se justifie en terme de visibilité."
 Autrement dit, de proximité avec les investisseurs. Ni le PDG Christophe de Margerie, ni les membres du comité exécutif ne quitteront Paris, assure le groupe.

Salle de shoot à Paris : première victoire pour l'association " Parents contre la drogue"


Le Conseil d'Etat vient de donner son feu vert à la plainte de l'association "Parents contre la drogue"
qui conteste la décision du premier ministre d’expérimenter une salle de shoot dans le Xème arrondissement de Paris.


Après le feu vert donné il y a six mois par Matignon à l'expérimentation d'une salle de consommation de drogue à moindre risque à Paris qui avait suscité un vif débat sur la pertinence de ces installations et leur implantation, la polémique sur les salles de shoot continue.

#Paris : Les #taxis soucieux de protéger leurs rentes

L'UMP va exclure un militant après son tweet sur la déportation des homosexuels

La fédération UMP de Paris a annoncé lundi 5 août avoir engagé une procédure d'exclusion à l'encontre de son militant Stéphane Journot, après un tweet polémique sur la déportation des homosexuels.

Commentant l'action menée dimanche par ActUp contre La Manif pour tous, le militant parisien avait fait référence au triangle rose servant de logo à l'association, mais surtout utilisé par les nazis pour marquer les homosexuels. "Ça va faciliter les choses", avait-il écrit.

Marielle de Sarnez pour la suppression du département de #Paris

Marielle de Sarnez, candidate du MoDem à la mairie de Paris, a proposé mardi de supprimer le département à Paris, ainsi qu’à terme, ceux de la petite couronne.
La vice-présidente du parti de François Bayrou, interrogée par BFMTV et RMC sur de possibles sources de réduction de dépenses, a cité une réforme des collectivités territoriales.
Alors que l’Assemblée nationale a voté en juillet la création de trois grandes métropoles - Paris, Lyon et Aix-Marseille-Provence - l’eurodéputée a commenté : «on créé le Grand Paris, ce qui est très bien, mais on va garder les strates précédentes : communes, intercommunalités, départements»...
«Tout cela n’est pas sérieux», a tranché Mme de Sarnez. «Il faut clarifier, simplifier».

Marielle de Sarnez se rapproche de #NKM

Candidate à la mairie de Paris, la vice-présidente du MoDem n'exclut pas une alliance avec l'UMP 



Municipales à #Paris2014: #NKM choisit le XIVe "pour le plaisir"

Nathalie Kosciusko-Morizet a choisi le XIVe arrondissement de Paris parce que le IIe et le IVe
étaient trop petits. Elle lorgnait aussi sur le Ve, tenu par les Tiberi, et plus surprenant, sur le XVIIIe.




Avant de choisir de se présenter dans le XIVe arrondissement pour les prochaines municipales à ParisNathalie Kosciusko-Morizet a envisagé d'autres points de chute: les IIe et IVe arrondissements lui ont paru trop petits, ainsi que le Ve, où sa présence aurait pu régler l'héritage Tibéri


Salle de shoot dans le 10ème : #Hidalgo va manquer d'Ayrault !

La vaste opération d'intoxication médiatique menée par le gouvernement et la mairie de Paris socialistes au
sujet du projet d'ouverture d'une salle d'injection dans le 10ème arrondissement risque de tourner court ! Il
faut savoir en effet que la légalité de l'ouverture de ce genre de lieu, permettant la consommation de substances interdites, est tout à fait douteuse en droit français. 


Tant le code de la santé publique que le code pénal sanctionnent sévèrement tout ce qui peut concourir à la consommation de stupéfiants. Ayrault, Hidalgo et consorts se sont contentés pour le moment des déclarations à la presse et autres réunions de concertation/manipulation dont ils sont friands. Mais l'association "Parents contre la drogue" a judicieusement choisi de ne pas attendre et d'engager une action devant le Conseil d'Etat en attaquant la décision du Premier ministre en date du 5 février 2013 d’autoriser une « salle de shoot » à Paris.

Marielle de Sarnez veut "un plan Marshall pour le# logement à #Paris

#Paris2014 : les maires d'arrondissement restent mal connus

Anne Hidalgo, PS
Boissons fraîches, sourires et convivialité, la campagne s'est poursuivie en juillet pour Nathalie Kosciusko-Morizet qui sillonnait récemment la place Saint-Paul à la rencontre des Parisiens. Des Parisiens parfois surpris de rencontrer la candidate UMP en pleine rue pour son opération «NKM près de chez vous».

Les différents candidats sont déjà bien engagés dans la bataille pour la mairie de Paris. Qu'il s'agisse
Christian Saint-Etienne, UDI
d'Anne Hidalgo au PS, de Nathalie Kosciusko-Morizet à l'UMP, de Christophe Naj­dovski chez les écologistes, de Marielle de Sarnez au MoDem, de Danielle ­Simonnet au Parti de gauche, de Wallerand de Saint-Just au FN, ou du dernier en date, Christian Saint-Étienne à l'UDI, les partis ont lancé l'offensive. Mais qu'en est-il des principaux intéressés, les électeurs parisiens?
L'échéance semble encore lointaine pour eux, en fait assez peu informés ou intéressés par le scrutin de mars 2014. La date des municipales? «C'est l'année prochaine», répond la plupart, sans en avoir une idée très précise. Néanmoins, une chose paraît bien inscrite dans les esprits: le duel déjà engagé entre Nathalie Kosciusko-Morizet et Anne Hidalgo. Le nom de la candidate UMP, connu sous le surnom de
«NKM», est celui qui revient le plus fréquemment, mais pas toujours avec les lettres dans le bon ordre. Anne Hidalgo, quant à elle, est encore souvent identifiée comme «la petite brune» ou «l'adjointe de ­Delanoë». Les autres candidats sont encore très peu connus.
Les maires d'arrondissement peinent également à sortir leur épingle du jeu. Seules les figures historiques ou ceux qui ont exercé des fonctions nationales, à droite comme à gauche, jouissent d'une certaine notoriété. C'est le cas de Rachida Dati dans le VIIe arrondissement, de l'ancien maire de la
capitale Jean Tiberi dans le Ve, de Daniel Vaillant dans le XVIIIe ou encore de Claude Goasguen dans le XVIe. Philippe Goujon, le maire UMP du XVe, ou celui du VIIIe François Lebel, élu depuis 1983, sont aussi très identifiés…

La suite : le Figaro

Christophe Najdovski, (#EELV) interviewé par un quotidien croate


Anne Hidalgo se félicite du vote de la Métropole du Grand Paris

La métropole du Grand Paris, un choix qui casse une dynamique urbaine ?

Par Patrick Braouezec, président de Plaine Commune

L’Assemblée nationale vient de voter, avec les seuls voix du groupe socialiste, « la métropole du Grand Paris ». Le texte est l’œuvre « d’un putsch parlementaire », selon les propos du député parisien Jean-Marie Le Guen.
De quoi cet acte est-il le nom ? A leurs yeux d’une reprise en main nécessaire pour faire sortir le débat de la gouvernance du Grand Paris du « blabla » du syndicat mixte Paris Métropole (PM). Au-delà du mépris pour l’engagement d’élus locaux, n’y-t-il pas dans cette décision une volonté de casser une dynamique de construction métropolitaine par la diversité politique et géographique des territoires qui la composent ? 
On peut s’interroger en effet.
Le premier acte de la métropole du Grand Paris serait la dissolution des intercommunalités de la petite couronne. Si dans cette dernière la carte de l’intercommunalité n’est ni achevée, ni parfaite, elle s’appuie de plus en plus sur la promotion de projets de territoire, sur une volonté partagée des élus de maîtriser leur destin commun.
Parmi elles, l’expérience de la communauté d’agglomération Plaine Commune est encensée (y compris parmi les promoteurs du texte gouvernemental) pour son apport au développement économique, à la construction de logements, sa coopération, sous forme d’Entente, avec d’autres intercommunalités situées aussi bien en petite qu’en grande couronne. 

Grand Paris : "machin" ou Grand Londres à la française ?

Le Grand Paris ? Quel numéro de téléphone ?", s'interrogeait le député socialiste des Hauts-de Seine, Alexis Bachelay, paraphrasant Kissinger à propos de l'Europe. Les 6,6 millions d'habitants qui connaissent à Paris, dans les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne et la Seine-Saint-Denis les mêmes difficultés pour se loger, se déplacer, voire pour respirer un air de qualité, sauront désormais à qui s'adresser. En votant, le 23 juillet, le projet de la loi portant affirmation des métropoles, les députés ont instauré un interlocuteur unique au coeur de l'Ile-de-France : la métropole du Grand Paris (MGP). A partir du 1er janvier 2016, les habitants auront un "patron" politique chargé des objectifs de construction dans l'agglomération mais aussi de la lutte contre la pollution et de l'amélioration de la circulation.

Il s'agit du plus grand chamboule-tout institutionnel pour la région parisienne depuis la disparition du département de la Seine en 1967. D'après la loi, portée par Marylise Lebranchu, ministre de la décentralisation et de la fonction publique, la MGP aura pour mission de lutter contre la crise du logement en Ile-de-France. 



Salle de shoot : le conseil d’Etat valide une plainte de parents contre le Premier ministre