lundi 1 juillet 2013

31 nouveaux logements sociaux au Fbg StMartin

Pour le député-maire du 14e arrondissement de Paris, NKM représente "la droite à la Marcel Proust"

Le petit mot doux est glissé à la toute fin d'un article du Monde consacré à la campagne parisienne de Nathalie Kosciusko-Morizet. Il est signé Pascal Cherki, député-maire du 14e arrondissement de Paris, souvent remarqué pour ses coups de gueule, notamment contre François Hollande.

Pour qualifier le positionnement politique de Nathalie Kosciusko-Morizet, l'élu parisien use de la métaphore, et de la référence littéraire :

NKM, c'est la droite à la Marcel Proust, la droite à clochettes des beaux quartiers.

Pascal Cherki a visiblement travaillé sa formule et son attaque. Il pourrait bien devoir affronter NKM dans son arrondissement. En effet, la candidate UMP a annoncé vouloir se présenter dans "un arrondissement de reconquête", et les hypothèses les plus probables d'atterrissage étant le 12e arrondissement, le 9e, et le 14e.


Place Stéphane Hessel

Municipales 2014 : NKM joue la carte de la proximité

C’était son premier meeting depuis sa victoire aux primaires UMP pour les municipales 2014 à Paris.
Nathalie Kosciusko-Morizet a réuni dimanche plusieurs centaines de partisans sur l’esplanade de l’Arsenal à la Bastille. 

« J’ai souhaité ce rassemblement en plein air pour permettre aux Parisiens qui ne seraient pas forcément venus s’enfermer dans une salle obscure pour assister à un meeting de se mobiliser pendant la campagne », a expliqué la députée de l’Essonne, selon « Le Parisien ». 

Lors de cet apéritif géant, également destiné à remercier tous ceux qui se sont impliqués dans sa campagne, la candidate n’a pas hésité à tacler sa concurrente Anne Hidalgo. « Ces derniers temps, je me sens suivie. Je donne la priorité  au logement intermédiaire, ça devient leur objectif. L'ouverture des métros la nuit, le ticket de stationnement électronique, je suis pour, ils le reprennent à leur profit !», a-t-elle déclaré, d’après « Le Monde ».

Le 11eme avec NKM

Raoul Delamare rencontre Gay Lib dans le 20ème

gay lib dans le 20ème
 A l’initiative de Pierre ROMEAS (à droite sur la photo), référent UDI pour le quartier Amandiers, Raoul DELAMARE (président de l’UDI 20ème) a rencontré le vice-Président de l’association Gay LibBertrand CAZENAVE
Au cours des derniers mois, tout a été dit et le contraire, dans le cadre de la violente polémique qui s’est créée autour de la loi TAUBIRA instituant dans le droit civil le mariage entre deux personnes du même sexe.
Dans une atmosphère digne et amicale, si habituelle du petit restaurant  » la cantine russe « Raoul DELAMARE a ainsi pu échanger avec les responsables de l’association Gay Lib qui s’est rapprochée de l’UDI dernièrement.
Il n’y a pas de hasard. L’ouverture d’esprit de Raoul DELAMARE est connue dans tout l’arrondissement et les sujets les plus pointus ou controversés ont été abordés sans à priori ni carricature.
Philippe ARAGON, référent de la FED-UDI pour le 20ème était aussi présent.
Anne LEBRETON, référente UDI pour le 11ème arrondissement s’est jointe aux convives avec enthousiasme.
 Union UDI 11 et 20

« Je n’ai plus les moyens d’être propriétaire à Paris… Alors j’habite Pantin! »

Le New York Times lui-même a cru déceler des « nouveaux signes de vie » à Pantin (édition du 31 octobre 2012), enchanté par la visite de la grande galerie d’art Thadeus Ropac, qui a été inaugurée l’automne dernier dans une ancienne chaudronnerie… 

De fait, avec une population qui a augmenté de 10% en 10 ans, atteignant 54 464 habitants lors du recensement de 2010, Pantin, jadis ville ouvrière de la Seine-Saint-Denis (93), est en pleine mutation. Parmi les nouveaux Pantinois, beaucoup de jeunes diplômés, des cadres, des membres des professions libérales. 

Michel Le Bec, fonctionnaire à la retraite qui habite Pantin depuis 1996, observe cette tendance démographique et sociale d’un œil amusé : "Pour qui a assisté à la gentrification de Paris, les évolutions de la banlieue proche rappellent forcément des souvenirs. Quand j’étais petit, je crapahutais autour de la rue Broca, dans le cinquième arrondissement de Paris. Il y avait des mansardes, des rues sombres et sales. Aujourd’hui, tout a changé et je n’ai plus les moyens d’être propriétaire à Paris… Alors j’habite Pantin !" Et il n’est pas seul à avoir fait le choix d’une ville de la banlieue proche, poussé par la flambée de l'immobilier dans la capitale. Comme Montreuil ou même Saint-Denis, Pantin a gagné en attractivité, brisant l’idée que la Seine-Saint-Denis (93) n’est qu’un terreau de précarité et de chômage. Portée en outre par l’arrivée d’entreprises du luxe ou du secteur bancaire (Hermès, Chanel, ou encore BNP Paribas, qui compte, depuis 2009, plus de 3000 salariés dans les bâtiments historiques des Grands Moulins), Pantin illustre l’attrait exercé par la proche périphérie. A l’heure où s'annonce le projet du Grand Paris.

Municipales à Paris : NKM s'offre un bain de foule à la Bastille

La candidate  à la mairie de  en 2014 est passée à la vitesse supérieure. Convaincue qu'elle devra effectuer un gros travail de terrain pour séduire les Parisiens, Nathalie Kosciusko-Morizet a donné un meeting dimanche soir place de la Bastille.

Conférence-débat UDI Paris sur le thème : «Quelle politique du logement pour Paris ?»

Les comités UDI des 4ème 11ème et 12ème arrondissements
vous invitent à une conférence-débat sur le thème :

« Quelle politique du logement pour Paris ? »


animé par Anne Tachène,
Conseillère de Paris, Vice-présidente de l’UDI Paris
Responsable de la commission logement

Hidalgo, Huchon, Bartolone tentent de sauver le Grand Paris

Ils signent avec 40 députés et sénateurs socialistes d'Ile-de-France une tribune à paraître dans Le Monde de mardi intitulée "Pour un sursaut métropolitain". Pour sortir de l'impasse, ils acceptent que la Métropole de Paris soit établie sur le périmètre de la capitale et de la petite couronne. Une position qui se rapproche de celle - minoritaire dans son camp - de Philippe Dallier, sénateur UMP du 93, qui signe à son tour une tribune sur leJDD.fr.

La suite : le JDD

De nombreux travaux rue Eugène Reisz

La rue Eugène Reisz va être en chantier pendant plus d’un mois. En effet du 1er juillet au 9 août 2013, les services de la ville de Paris vont y entreprendre les travaux suivants : élargissement du trottoir côté impair, plantation de 19 arbres, création d’un double sens cyclable, création de cinq places de stationnement pour deux-roues motorisés sur chaussée avec mobilier d’accrochage au n° 1 de la voie, création de 12 places de stationnement pour vélos sur chaussée avec mobilier d’accrochage au n° 9 de la voie.
Cette rénovation impliquera la neutralisation provisoire du stationnement au 34-36, rue des docteurs Déjérine et dans toute la rue Eugène Reisz ainsi que la neutralisation provisoire du double sens cyclable depuis la rue Félix Terrier vers le boulevard Davout.

Retraite : ceinture pour tout le monde, sauf pour Anne Hidalgo

À 52 ans, Anne Hidalgo, premier adjoint au maire de Paris, a décidé de liquider sa retraite… d’inspectrice du travail ! Un comble… Les Parisiens auront-ils bientôt un maire à la retraite ? Anne Hidalgo, premier adjoint de Bertrand Delanoë et candidate socialiste à la mairie de Paris, a mis à profit les privilèges de la fonction publique pour prendre en juillet 2011 sa retraite d’inspectrice du travail, à l’âge de 52 ans. On conçoit qu’elle soit fatiguée quand on considère les multiples tâches qui l’ont accaparée au long de son parcours professionnel. Probablement douée d’ubiquité, elle a mené non pas une, mais trois carrières à la fois : 

  • dans la fonction publique : de 1982 à 2011, comme inspectrice du travail ; 
  • au sein des cabinets ministériels : de 1997 au mois de mai 2002, elle est successivement conseillère au cabinet de Martine Aubry, ministre de l'Emploi et de la Solidarité (1997-1998), de Nicole Péry, secrétaire d'Etat aux droits des femmes et à la formation professionnelle (1998-2000) et de Marylise Lebranchu, ministre de la Justice (2000-2002).  
  • électorale : aux élections municipales de mars 2001, elle conduit la liste socialiste dans le 15ème arrondissement de Paris (tout en continuant de conseiller Marylise Lebranchu et en demeurant officiellement fonctionnaire du ministère du Travail). Elue conseiller d'arrondissement, elle devient première adjointe au maire de Paris. Elle est encore candidate aux législatives en 2002 puis en 2007, élue au conseil régional d'Ile-de-France en 2004, elle mène de nouveau la liste du PS dans le 15ème arrondissement aux municipales de 2008.

Place de la République : même Libé s'en agace !

Place de la République : même Libé s'en agace !


Le saccage de l'une des plus belles places de Paris, sacrifiée à la démagogie urbaine et transformée en piste de skateboard, n'en finit plus de faire des vagues. 

Désormais, c'est Libération lui-même qui s'en émeut, par la plume de Pierre Marcelle, gauchiste survolté mais avec qui, ma foi, nous ne sommes pas toujours en désaccord sur tout ! 

Marcelle se trompe quand il écrit que la place de la République était moche auparavant ; elle était laissée à l'abandon par la mairie, c'est bien différent. De même Haussmann était loin d'être une sorte de Attila mû uniquement par la volonté d'écraser les manifestations. 

Mais, pour le reste de son propos, nous le rejoignons bien volontiers.




Nathalie Kosciusko-Morizet, un petit goût de «différent» à la Bastille

POLITIQUE – La candidate à la Mairie de Paris a invité ce dimanche sympathisants et militants
à la rejoindre pour sa campagne…

Nathalie Kosciusko-Morizet en «liberté». Ce dimanche après-midi, la candidate UMP pour la Mairie de Paris a réuni ses partisans sur l'esplanade de l'Arsenal à la Bastille.

«Les volontaires sont tous les bienvenus»

Sous le soleil et autour de tablées apéro-cacahuète-limonade, NKM en appelle à la «liberté» des «volontaires, encartés ou non» qui viendront soutenir sa campagne. «Les volontaires sont tous les bienvenus», répète-t-elle, usant des termes de Barack Obama, alors candidat à la présidentielle américaine. Dans la foule qui accompagne NKM, l’ambiance est bon enfant. Sous les ballons bleus et rouges, Flora Ananou, responsable adjointe des jeunes UMP de Paris, a prévenu militants et sympathisants en multipliant les envois de SMS. Pour cette jeune militante, «les gens ont moins peur de venir un dimanche après-midi en plein air plutôt qu’à une réunion traditionnelle».

La suite : 20 Minutes