mercredi 10 juillet 2013

Municipales à Paris : l'UDI Christian Saint-Etienne est candidat

L'économiste Christian Saint-Etienne a annoncé lundi sur LCI sa candidature aux municipales à Paris, dans le 9e arrondissement.



 

L'#UDI Paris unie autour de Christian Saint-Etienne

Le salaire de Rachida Dati : 9 857 euros brut par mois grâce au cumul des mandats

Elle a renoncé à se présenter aux législatives de 2012 à Paris, elle a renoncé à se présenter à la mairie de Paris face à NKM. Depuis qu'elle a quitté le gouvernement Fillon en juin 2009, Rachida Dati s'affiche comme l'éternelle mal-aimée de son camp. Quand elle a renoncé à sa candidature à Paris, elle s'est même plaint d'un "délit de sale gueule".

A l'écouter, Rachida Dati chercherait presque un emploi. Pourtant, l'ancienne garde des Sceaux n'est pas vraiment à plaindre. Élue députée européenne en juin 2009, elle perçoit, à ce titre, 7 957 euros brut par mois. Un beau salaire, sachant que six mois après son élection, les caméras de M6 avaient surpris Rachida Dati en train de se plaindre du parlement européen : "J'en peux plus. Je n'en peux plus ! Je pense qu'il y aura un drame avant que je finisse mon mandat", s'était-elle confiée.
Deux ans plus tard, Le Canard enchaîné avait épinglé l'eurodéputée pour son manque d'assiduité avec un taux de présence à Bruxelles de 59%. "

La suite : politique.net

Intervention Martine Namy-Caulier sur la Charte des occupations des berges rive gauche

Que reste-t-il de l'hôtel Lambert ?

Après l'incendie qui a ravagé une partie de ce prestigieux bâtiment du XVIIe siècle, il faudra au moins deux ans pour le restaurer. Les propriétaires qataris et l'État s'y engagent.

Une catastrophe pour l'un des joyaux architecturaux de Paris: dans la nuit de mardi à mercredi, le feu s'est déclaré sous les toits de l'hôtel Lambert. Datant du XVIIe siècle, appartenant depuis cinq ans à la famille princière du Qatar, l'hôtel de l'île Saint-Louis était en travaux depuis trois ans. Mercredi après-midi, le feu était maîtrisé ; 170 pompiers avaient été mobilisés pendant plusieurs heures pour parvenir à limiter les dégâts.
Mais les faits sont là: un des rares décors du XVIIe siècle dû au peintre Eustache Le Sueur, qui ornait un petit cabinet, est totalement détruit. Il représentait des scènes mêlant des dieux et des nymphes, aujourd'hui méconnaissables et irrécupérables.

Redistribution électorale, l’enjeu pour Paris

Après la censure de la loi de Manuel Valls par le Conseil Constitutionnel, l’Assemblée nationale votera mercredi 10 juillet une nouvelle répartition des 163 conseillers de Paris. Les arrondissements dont la population a diminué perdront des sièges au profit des arrondissements les plus peuplés de la capitale. Quelle incidence sur les élections municipales de mars 2014? Explications

La suite : Le JDD

Danielle Simonnet en faveur de la remunicipalisation des services de nettoyage

Refus de l'élection directe du conseil de Paris

Hôtel-Dieu: "moratoire électoral" (NKM)


La candidate de l'UMP à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, a estimé aujourd'hui que la décision du gouvernement de repousser la date de fermeture des urgences de l'Hôtel-Dieu était un "moratoire électoral" permettant de sortir son adversaire socialiste Anne Hidalgo "de ses multiples contradictions".

"Il était prévisible que la majorité municipale négocie avec le gouvernement un moratoire électoral. (La ministre de la Santé) Marisol Touraine vient ainsi rendre un immense service à Anne Hidalgo: elle lui permet de sortir de ses multiples contradictions concernant l'avenir de l'Hôtel-Dieu", a commenté l'ancienne ministre dans un communiqué.


Toute la presse en parle ... : Imbroglio autour de l'investiture UDI

Maire de Paris: une élection pas comme les autres, et pour longtemps

Paris, Paris féminisé, Paris disputé et Paris bientôt rééquilibré. L'Assemblée nationale doit en effet examiner, mercredi 10 et jeudi 11 juillet, une proposition de loi de la majorité amendant le nombre de conseillers municipaux élus dans chaque arrondissement de la capitale.

La précédente répartition, qui reprenait, en l'actualisant légèrement, celle établie il y a trente ans sur la base des chiffres du recensement de... 1975, a en effet été censurée le 16 mai par le Conseil constitutionnel au motif qu'elle surreprésentait les petits arrondissements du centre.

La droite parisienne entend utiliser ce débat pour défendre une réforme «radicale» d'un système électoral de la ville jugé «à bout de souffle» et peu lisible: ses députés, dont sa candidate Nathalie Kosciusko-Morizet, proposent que le conseil municipal soit désormais élu dans le cadre d'une circonscription globale couvrant les vingt arrondissements, comme c'est le cas dans d'autres grandes métropoles (New York, Londres, Montréal, Rome...). Une proposition qui n'a aucune chance d'être adoptée cette fois-ci, mais suscite un débat qui éclaire plusieurs enjeux de la municipale 2014 et de la mandature à venir.


La suite sur le blog de Bernard Debré 

Région Ile de France : 400.000 euros pour un logo

Ile-de-France : Jean-Paul Huchon trop dépensier

jean paul huchon
Le Conseil économique, social et environnemental régional d’Ile-de-France demande à Jean-Paul Huchon, président PS de la Région, de réduire ses dépenses de fonctionnement et de mieux préparer l’avenir d’une région où le poids de la dette représente 10% des dépenses.
Début 2012, Marie-Pierre de la Gontrie, la vice-présidente socialiste chargée des finances avait promis de contenir les dépenses de fonctionnement de la région Ile-de-France et de maintenir son niveau d’investissement en 2013.
Le Conseil économique, social et environnemental régional (Ceser) d’Ile-de-France vient de constater que cet engagement n’était pas d’actualité en 2012.
Dans un avis publié le 17 juin, il appelle le Conseil régional et son exécutif, présidé par le socialiste Jean-Paul Huchon, à endiguer l’augmentation des dépenses de fonctionnement.

Celles-ci ont progressé de  + 3,4% entre 2011 et 2012.


Les HLM de Puteaux

La campagne de promotion à 400.000 euros de Jean-Paul Huchon

La campagne de promotion à 400.000 euros de Jean-Paul Huchon passe mal

POLÉMIQUE - Selon le Canard Enchaîné, la région Ile-de-France aurait dépensé 400.000 euros pour une campagne de promotion de la région à l'international. Une information démentie mardi soir par son président PS Jean-Paul Huchon


Huit bâtons de couleur, comme autant de départements franciliens, qui se réunissent pour former une tour Eiffel. Juste en dessous, un slogan : "Paris Région, source of inspiration". Ce logo est censé être l'image de marque de la campagne sur laquelle planchent la Région et ses partenaires depuis plus d'un an. Objectif : promouvoir l'image de l'Ile-de-France et son dynamisme à l'international. Une "marque de territoire", comme il peut en exister en Bretagne par exemple.

La région Ile-de-France s'offre une nouvelle image pour 400 000 euros

Huit traits de couleur pour autant de départements franciliens et une forme de Tour Eiffel au milieu. Le tout pour 400 000 euros. L'information du Canard enchaîné publiée ce mercredi interroge. Le conseil régional d'Ile-de-France, présidé par le socialiste Jean-Paul Huchon, y est-il allé un peu fort pour s'offrir un nouveau logo? 
Non, répond naturellement son entourage, qui précise d'emblée qu'il ne s'agit pas d'un nouveau logo, mais "d'une marque de territoire destinée à être portée par des universités, des monuments ou des musées". Concrètement, à l'instar d'autres métropoles ou régions européennes, l'Ile-de-France veut se doter d'une image capable "de promouvoir l'attractivité de la région".  
Il n'empêche que la conception de ce logo a bel et bien coûté 400 000 euros à la seule charge du conseil régional sans qu'une date de lancement ne soit connue. "Nous réfléchissons encore à la forme juridique que prendra cette marque. Doit-on créer une association pour la gérer ou la confier à une agence déjà existante?", s'interroge-t-on à la Région.  

La campagne de promotion de la région Ile de France fait polémique

Selon "le Canard Enchaîné", la région Ile-de-France aurait dépensé 400.000 euros pour une campagne de promotion de la région à l'international. Une information démentie mardi soir par son président PS Jean-Paul Huchon.


Un slogan "Paris Région, source d'inspiration". Ce logo est censé être l'image de marque de la campagne sur laquelle planche la Région Ile de France et ses partenaires depuis plus d'un an. L'objectif est de promouvoir l'image de la région et son dynamisme à l'international. 

Le logo, ainsi que la campagne, aurait dû être présenté le 2 juillet dernier, avec, à suivre, la création le 11 juillet prochain lors du conseil régional, d'une structure chargée de coordonner l'ensemble. Mais, selon le Canard Enchaîné qui paraît aujourd'hui, les cérémonies auraient été annulées en catastrophe.


Franciliens, calculez votre nouveau loyer grâce à la loi Duflot

Le projet de loi Duflot prévoit d’encadrer les loyers en 2014. Grâce au simulateur de Mediapart, qui a eu accès aux données de l’OLAP (Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne), calculez le loyer maximal que vous payerez pour votre futur appartement. Ou le montant que vous pourrez exiger de votre actuel propriétaire.

A Paris, la lutte des places au Front de gauche

Les négociations vont bon train au Front de gauche pour les municipales de mars 2014 à Paris. Et les appétits sont aiguisés, selon un document interne du PCF que Le Monde s'est procuré. Le Front de gauche dispose aujourd'hui de 10 conseillers de Paris : 8 du PCF, élus sur des listes d'union avec les socialistes, et 2 du Parti de gauche (PG), élus avec l'étiquette PS en 2008.
Selon ce compte rendu d'une réunion entre le PCF et le PG, ce dernier a pour objectif 21 élus. "Ce n'est pas une folie, c'est un scénario raisonnable, même si c'est une fourchette haute, considère Alexis Corbière, conseiller de Paris du PG.Seule une liste Front de gauche autonome permettra d'augmenter significativement le nombre d'élus."

Chauffer en utilisant des ordinateurs

Les coupables de l’agression homophobe du 8 avril n’étaient pas ceux que l’on croit


L’attentif lecteur se rappellera certainement que dans la nuit du 8 avril dernier, un drame se nouait dans le
XIXème arrondissement de la capitale : Wilfried et son camarade Olivier, jeunes hommes aux relations homosexuelles, qui se tenaient par le bras dans une ruelle  à la sortie d’une soirée, se faisaient agresser lâchement et sauvagement aux cris de « Ah ! les pédés ».
Wilfried, à peine remis de ses émotions et sorti de l’hôpital, diffusait sur tous les réseaux sociaux la photo de sa face tuméfiée, brisée, ravagée, aussitôt qualifiée par tous les médias de « nouveau visage de l’homophobie ».
La victime elle-même, quoiqu’elle n’ait aucun souvenir du déroulement de la scène, n’hésitait pas à affirmer que cette « agression (disait) quelque chose de notre société, sur ce qui se passe en France depuis pas mal de mois autour du mariage pour tous. »

Le mot était lâché, le mal identifié, et la bonne presse se pressait de lier cette violence au terrible vandalisme qui frappait alors le quartier parisien du Marais, en l’espèce un collage sauvage du Printemps français sur l’espace des Blancs-Manteaux qui accueillait le « Printemps des assoces de l’inter-LGBT ». La France tremblait, le nazisme était de retour. Frigide Barjot était sur la sellette.


400 000 euros pour le logo fantôme du conseil régional d'Ile-de-France


Voeu d'Edith Gallois (#UDI) relatif au stationnement des deux roues motorisés

Conseil de Paris - Juillet 2013

Déposé par Edith GALLOIS et les élus du Groupe Union des Démocrates et Indépendants*
Edith GALLOIS et les élus du Groupe Union des Démocrates et Indépendants demandent au Maire de Paris :
- que soit communiqué très rapidement un bilan d’étape sur l’objectif de 50 000 places d’ici 2014 ;
- qu’en concertation avec les maires d’arrondissement, soit élaboré un nouveau plan de stationnement pour les deux roues motorisés en rapport avec les besoins réels de la capitale.


Le #Tumblr du jour est destiné aux amoureux de @Paris

NKM : "Paris a envie d'alternance"

Nathalie Kosciusko-Morizet, ancienne porte-parole de Nicolas Sarkozy et candidate à la mairie de Paris répond aux questions du JDD.

La Droite forte, qui s'est réunie samedi, avait expliqué ne pas souhaiter votre victoire à la primaire pour Paris. Vous leur en tenez encore rigueur?
Ce sont les Parisiennes et les Parisiens qui leur ont le mieux répondu, en me choisissant largement dans la primaire. C'est maintenant derrière nous. Toute mon énergie est aujourd'hui engagée dans la bataille de Paris. Pour le reste, je ne renonce jamais à défendre mes idées, quoi qu'il en coûte. Cela m'est d'ailleurs régulièrement arrivé d'avoir des positions minoritaires. Sur la charte de l'environnement au début, sur les OGM, ou plus récemment sur le mariage pour tous. Cela provoque parfois des réactions vives. En ce qui me concerne, je trace mon chemin. Je ne veux en aucune façon m'enfermer dans les polémiques sans fin au sein de ma famille politique. Pas plus d'ailleurs avec la concurrence. À Paris, les socialistes sont en permanence dans la comparaison. Je veux l'ouverture des commerces le dimanche, la fin du diesel dans les flottes publiques : ils s'y rallient! J'organise un pique-nique en plein air à la Bastille, ils en lancent un aux Buttes-Chaumont… Tant mieux, partageons les bonnes idées!

Paris se gagne-t-il au centre?
Paris se gagne à l'enthousiasme, à l'énergie, à l'esprit d'innovation et au mouvement. Je veux susciter un rassemblement de toutes les forces qui veulent le progrès. Cela inclut ceux qui n'ont jamais eu d'investissement politique. Je regarde avec beaucoup d'attention ce qui se passe à l'UDI mais aussi au MoDem. J'ai trouvé très porteurs d'espérance les propos de Marielle de Sarnez. Elle parle du logement intermédiaire comme d'un sujet prioritaire. Construisons quelque chose ensemble sur ce sujet! Les socialistes, il en sera encore question demain au conseil de Paris, ils ont sacrifié 16.000 logements intermédiaires pour faire du logement social!

Le XVIe, «garde-manger» des voleurs en période de crise

Le nombre de cambriolages a explosé à Paris (+58% en un an). Le XVIe arrondissement est particulièrement touché.

Les habitants du quartier de la porte Dauphine, dans le XVIe, en ont ras le bol. Depuis quelques mois, ils se disent «confrontés à une hausse vertigineuse des cambriolages et violences de toute sorte». Conséquence: ils viennent de fonder une association afin d'améliorer la convivialité et la solidarité entre voisins. «Nous subissons une tentative de cambriolage par jour et un cambriolage réussi par semaine», déplore Pierre-Henry Pouchelon, le président de Mieux vivre ensemble dans le quartier Dauphine.
«Quand vous discutez avec la police, elle vous confie qu'en période de crise, le XVIe devient un garde-manger pour les voleurs», renchérit Jean-Pascal Sudaka, le secrétaire général de l'association. Et d'évoquer cette soirée du 22 septembre dernier, où, rentrant du restaurant, il se retrouve bloqué par une voiture de police à l'entrée de son immeuble rue du Général-Appert. Motif: un cambriolage est en cours au n° 17. Les forces de l'ordre arrêteront finalement deux Roumains. Mais un troisième a pris la fuite avec le butin, de l'argent, des bijoux et un ordinateur.

Métropole du Grand Paris : Delanoë défavorable à la fusion des départements

Le maire de Paris Bertrand Delanoë (PS) s'est dit défavorable lundi à une fusion des départements de Paris et de la petite couronne, alors que l'Assemblée nationale doit examiner la semaine prochaine le projet de création de "Métropole du Grand Paris", qui prévoit de les regrouper.


(AFP) - "Le département est une instance qui mène des politiques de cohésion sociale", qu'il s'agisse de l'aide aux handicapés, aux personnes âgées ou du versement du Revenu de solidarité active (RSA). "Je pense qu'il est sain que chaque institution ait un rôle bien clair et ne se disperse pas. La politique de cohésion sociale ne se mène pas trop loin des habitants", a expliqué Bertrand Delanoë lors d'un déjeuner avec la presse.

L'Autorité de la concurrence donne son feu vert à la fusion Monoprix-Casino

Sandra Fellous pour le maintien en activité de l'Hotel Dieu

Invitée politique de France Bleu: Chantal Jouanno (UDI) sénatrice de Paris



Source : Radio France

Et si le travail dominical entrait en gare?

La justice doit se prononcer, ce mercredi, sur l'ouverture illégale du Carrefour City de la gare Saint-Lazare...

«Franchement, c'est une bonne journée. Et c'est de mieux en mieux.» Au Carrefour City de la gare Saint Lazare (9e), les dimanches sont des jours travaillés comme les autres. Sauf que l'enseigne, ouverte ce jour-là jusqu'à 22h -comme le reste de la semaine- est hors-la-loi.
Le magasin, comme tous ceux situés hors des zones touristiques, doit en effet tirer le rideau à 13h. Et le tribunal administratif de Paris, qui examine ce mercredi un référé déposé par la direction du Travail, pourrait l'y contraindre. Mais «ce serait vraiment dommage», regrette Bruno, l'adjoint du magasin.

Etudiants payés double

D'abord pour les affaires, puisque d’après l’employé, entre 2.000 à 3.000 clients s'y déplaceraient chaque dimanche, quand ils sont entre 3.000 à 4.000 en semaine. Et ensuite pour l'emploi, car «nous avons entre 5 et 12 étudiants qui travaillent et sont payés double ces jours-là», explique le salarié. «Si on devait fermer, ça les plomberait.»

Le périphérique parisien sera limité à 70 km/h dès cet automne

Au ministère de l'Intérieur, on se dit favorable à la mesure mais on souhaite aller jusqu'au bout de la concertation prévue jusqu'en octobre prochain, dans le cadre du plan de protection de l'atmosphère.

Le boulevard périphérique limité à 70km/h au lieu de 80 actuellement, ce n'est pas pour cet été, mais c'est pour très bientôt. En clair, dès cet automne. Alors que Bertrand Delanoë, le maire de la capitale, a embrayé une nouvelle fois sur le sujet lundi lors du conseil de Paris, réitérant sa demande auprès du gouvernement, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls vient de desserrer le frein.
En février dernier, ce dernier avait demandé à ce que «toutes les mesures d'interdiction, comme celles de circuler sur les berges, ou pour diminuer la vitesse sur le périphérique, soient prises en concertation avec les collectivités de la petite et de la grande couronne». De même, il avait émis des réserves sur le projet de fermeture des voies sur berge. «Très souvent, avait-il déclaré, certaines mesures sont prises sans forcément tenir compte des difficultés qu'éprouvent les banlieusards. Eux sont obligés d'utiliser leur voiture». Manière, d'après certains, de critiquer en creux la vision très «parisiano-centrée» de Bertrand Delanoë qui roulerait pour ses seuls électeurs. «Valls a été élu de l'Essonne, il sait ce que c'est que de se rendre dans la capitale en voiture», tacle encore Jean-François Legaret, à la tête des élus UMP de Paris.