RER rime trop souvent avec galère. Chaque habitué connaît ces événements pénibles, à la fois irréguliers et imprévisibles. Voici le récit, très instructif, d’un voyage mouvementé. Où l’on comprend que le déficit de coordination et d’information est au cœur des mésaventures vécues par les usagers.
Thierry vit à Achères (Yvelines) et travaille dans le 11e arrondissement de Paris. Pour rentrer chez lui, il emprunte successivement la ligne 8 du métro entre Chemin-Vert et Opéra, et le RER A entre Auber et Achères-Ville : un peu plus d’une heure quand tout se passe bien.
La suite : l'interconnexion n'est plus assurée
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