« Suspecté d’avoir renseigné l’ancien patron du GIGN, Christian Prouteau, avant son interpellation dans une affaire d’escroquerie et de corruption, Bernard Petit tombe en compagnie de trois autres responsables policiers, connus pour leur affiliation à la Grande Loge nationale de France.
Les « tuyaux » échangés entre frères trois-points, qui pénalement s’analysent en une « violation du secret de l’enquête et de l’instruction », scellent le destin de celui qui était l’un des flics les plus puissants de France, depuis un peu plus d’un an seulement. A 59 ans, la carrière de ce « grand professionnel », comme l’avait présenté Manuel Valls lors de sa nomination, s’achève dans l’inconfort du bureau d’un juge d’instruction. »
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