Comme 610 050 usagers (jusqu’à la corde) quotidiens, le Plouc affronte régulièrement la ligne 13 du métro parisien. En comparaison, le calvaire est un voyage dans la ouate. Une foule monstrueuse s’y presse aux heures de pointe. Ou plutôt s’y pointe aux heures de presse. Vous y êtes entassés, malaxés, broyés, le nez écrasé sur la vitre ou le corps pris en sandwich entre des masses malodorantes. Un claustrophobe qui pète les plombs et c’est la catastrophe assurée (photo).
«Le métro est pour moi un lieu de charme, à la fois anonyme et familier. Je prends souvent les lignes 13 et 8 et il m’arrive de faire des rencontres incroyables. Je ne suis pas en train d'idéaliser le métro, c'est parfois pénible, mais il y a des moments de grâce.»
Succès comique énorme sur le Net.
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